lundi 23 mars 2015

Histoire trouvée sur le web





En me baladant sur le net, je suis tombée sur cette histoire...
L'écriture est simple mais le fantasme est des plus intéressants !!!


LA PREMIÈRE FOIS... AUX PIEDS D'UNE FEMME


Ma première expérience s'est déroulée au lycée, alors que je découvrais mon fétichisme pour les pieds féminins au travers des revues spécialisées et autres vidéos. Florence était une redoublante, donc plus âgée que moi et surtout beaucoup plus mûre que ses camarades de classe. Elle était brune, grande et bien roulée, avec des jambes musclées au galbe affolant. Elle portait aussi bien des robes et des jupes que des pantalons, mais toujours avec des chaussures très féminines à talons hauts, bottes, escarpins, mules ou sandales à brides qui mettaient en valeur ses pieds fins aux orteils vernis... Ce qui m'attirait chez elle c'était surtout son caractère affirmé de "dominatrice". Elle aimait qu'on lui obéisse au doigt et à l'œil !
Dès qu'elle entrait en classe je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses jambes et ses pieds chaussés de cuir. D'ailleurs je m'arrangeais souvent pour être assis quelques places plus loin sur la même rangée et fantasmer en la voyant croiser et décroiser ses jambes en agitant son pied ! Mais dès qu'elle s'en apercevait son regard dominateur m'intimait l'ordre de baisser les yeux...

Cette fameuse expérience est donc arrivée grâce aux éternels exposés à faire en communs. La chance m'a permis de me retrouver dans le groupe de Florence et d'une de ses copines. Un mercredi après-midi me voilà donc invité par Florence à venir chez elle pour travailler sur l'exposé en compagnie de sa copine. Je me suis donc rendu chez Florence tout excité à l'idée de passer une partie de la journée à admirer ses pieds, mais résigné à faire ce pour quoi elle m'avais fait venir : travailler sur l'exposé. Quand elle m'accueillit chez elle, je fus troublé d'abord par son caleçon noir brillant qui moulait ses jambes et ses escarpins à lanières hauts de 12 cm aux pieds et ensuite par le ton autoritaire qu'elle prit pour m'annoncer que sa copine aurait du retard et qu'en attendant je pourrais satisfaire ma trop voyante curiosité !

Elle m'ordonna de m'agenouiller au milieu du salon, de joindre les mains dans mon dos et de baisser la tête. Je n'arrivais pas à y croire et sans réfléchir j'obéis docilement en tremblant d'excitation. Tandis qu'elle tournait autour de moi en m'intimant l'ordre d'arrêter mon petit manège en classe, je ne pouvais pas m'empêcher de savourer la vue de ses pieds lisses et bronzés enlacés par les minces lanières de cuir noir de ses escarpins. Les talons hauts de 12 cm donnaient à ses pieds une cambrure admirable qui soulevait ses plantes de pieds d'une partie de la semelle. Je mourrais d'envie d'embrasser ses orteils délicatement vernis d'un rouge vif. J'avais du mal à dissimuler la bosse qui soulevait mon pantalon tant l'érection était forte. J'aurais donné n'importe quoi pour me trouver sous ses hauts talons pointus qui écrasaient la moquette du salon avec une lenteur énervante. Finalement, elle s'arrêta de tourner et vint s'asseoir sur le canapé face à moi. J'étais de plus en plus excité par la position humiliante dans laquelle je me trouvais et par la tournure des événements. Tout en me dictant la conduite à tenir dorénavant, elle croisa ses jambes gainées de noir à hauteur de mon visage et son pied droit se retrouva sous mon nez. Je pouvais sentir l'odeur enivrante du pied nu dans une chaussure en cuir. Je fermais les yeux de plaisir et respirais à plein poumons comme pour m'imprégner de ce parfum ... Elle me rappela vite à l'ordre en me traitant de carpette, de paillasson et m'ordonna de lécher son escarpin pour lui prouver mon dévouement. J'avais beaucoup de mal à admettre ce qu'il m'arrivait. Mon fantasme le plus cher était sur le point de se réaliser !
Je ne la fis pas attendre et me mis à parcourir la semelle usée de son escarpin avec ma langue tendue. Je suivais toutes les rainures encrassées de la semelle et remontais vers le talon vertigineux. L'excitation était à son comble et mon sexe tendu me faisait mal. Mon corps tremblant de plaisir était penché en avant pour atteindre cet objet tant désiré. Mais malgré mes efforts, je ne parvenais pas à lécher ce talon pointu de 12 cm qui pointait vers moi, symbole de la domination féminine. Alors je fis mine de me déplacer en avant et Florence qui me dominait du regard, me laissa avancer et enfonça brutalement son talon dans ma bouche entrouverte. La pointe du talon vint écorcher ma langue et l'intérieur de ma joue. La semelle de l'escarpin s'aplatit contre mon visage et écrasa mon nez. Puis elle éclata d'un rire humiliant, en me forçant à pomper ce phallus. Je m'efforçais d'engloutir ses 12 cm qui butaient au fond de ma gorge à chaque mouvement. Je sentais que le plaisir déjà extrême allait exploser d'un moment à l'autre. Florence ne riait plus et d'une voix sourde et autoritaire me fit comprendre que je serais soumis et humilié autant qu'elle le voudrait. Ce disant, elle accentua la pression de son pied sur mon visage et enfonça à nouveau son talon au fond de ma gorge en rejetant ma tête en arrière. Quand le talon de l'escarpin vint racler l'arrière de mon palais et la semelle égratigner le dessus de mon nez, je ne pus m'empêcher d'inonder le haut de mon pantalon en râlant comme un chien...
Cette jouissance ne plût pas du tout à Florence qui m'envoya par terre d'un coup de pied. Elle se leva furieuse et écrasant ma tête du pied comme un vieux mégot elle me fit comprendre que dorénavant elle seule contrôlerait mes éjaculations. Elle me rappela que si je ne voulais pas lui obéir, mon état de paillasson ferait le tour du lycée. Ensuite elle me jeta hors de chez elle sans que je puisse dire un mot ! Je me retrouvais dehors, le pantalon trempé, la bouche meurtrie et le nez écorché mais heureux d'avoir, pour la première fois, assouvi mon fantasme...
Auteur : Julien.
Site : http://www.auxpiedsdesfemmes.com


J'ai illustré cette histoire de mes bottes qui sont idéales pour enfoncer leur talon dans une bouche de lopette !!!